De Toulouse, nous arrivons à Pau, la "capitale des Pyrénées". Un peu de repos après deux heures de route. De la terasse du boulevard des Pyrénées nous pourrions voir le massif montagneux si le temps avait été plus clair.
En route maintanant vers l'unique vignoble sélectionné parmi la soixantaine de vignerons indépendants de l'apellation Jurançon, choix déchirant. Partant d'une expérience de dégustation lors d'un repas à l'ITHQ, j'ai opté pour le Clos Lapeyre.
Belle dégustation, découverte de cuvée en blanc sec et moelleux qui accompagneront nos repas de ce mois et que nous rapporterons peut-être à Montréal.
Nous nous dirigeons par la suite à notre gîte d'Oloron Ste-Marie qui est tout près. Quelle belle surprise, un havre de paix, retiré à la campagne et aménagé avec goût.
Un accueil de la gente canine
Une hôte accueillante, un déjeuner copieux, des figues à profusion fraîchement cueillies du figuier ci-dessus
Une nuit reposante, un endroit que l'on peine à quitter...
mais de notre chambre, on distingue au loin les contreforts des Pyrénées qui nous appelent.